当前位置:首页 >> John Nelson、Badischer Staatsopernchor、Chœur de l'Opéra national du Rhin、Chœur philharmonique de Strasbourg、Richard Rittelmann >> Les Troyens H 133 - Acte I: No. 1: Chœur: Ha! ha! Après dix ans passés dans nos murailles (特洛伊人,作品29,H. 133 - 第一幕:“啊!啊!我们在城墙里呆了十年”(一个士兵,合唱)) (Live) 歌词
LRC歌词
CHŒUR
Ha! ha!
Après dix ans passés dans nos murailles,
Ah! quel bonheur de respirer
L’air pur des champs, que le cri des batailles
Ne va plus déchirer.
(Jeunes garçons et enfants accourant avec des débris d’armes à la main)
Que de débris! – Un fer de lance!
Je trouve un casque! – Et moi, deux javelots!
Voyez, ce bouclier immense!
Il porterait un homme sur les flots.
Quels poltrons que ces Grecs!
UN SOLDAT
Savez-vous quelle tente
En ce lieu même s’élevait?
CHŒUR
Non! Dites-le... C’était?
LE SOLDAT
Celle d’Achille.
CHŒUR (se reculant avec terreur)
Dieux!
LE SOLDAT
Restez, troupe vaillante!
Achille est mort, vous pouvez voir ici
Sa tombe, la voici.
CHŒUR
C’est vrai ; de ce monstre homicide
Pâris nous délivra. – Connais-tu le cheval
De bois, qu’avant de partir pour l’Aulide
Construisirent les Grecs? – Ce cheval colossal,
Leur offrande à Pallas, dans ses vastes entrailles
Tiendrait un bataillon. On abat les murailles.
Dans la ville, ce soir, nous allons le traîner;
On dit que le roi vient tantôt l’examiner!
Où donc est-il? – Sur le bord du Scamandre!
Il faut le voir sans plus attendre!
Courons! courons! Le cheval! le cheval!
Ha! ha!
Après dix ans passés dans nos murailles,
Ah! quel bonheur de respirer
L’air pur des champs, que le cri des batailles
Ne va plus déchirer.
(Jeunes garçons et enfants accourant avec des débris d’armes à la main)
Que de débris! – Un fer de lance!
Je trouve un casque! – Et moi, deux javelots!
Voyez, ce bouclier immense!
Il porterait un homme sur les flots.
Quels poltrons que ces Grecs!
UN SOLDAT
Savez-vous quelle tente
En ce lieu même s’élevait?
CHŒUR
Non! Dites-le... C’était?
LE SOLDAT
Celle d’Achille.
CHŒUR (se reculant avec terreur)
Dieux!
LE SOLDAT
Restez, troupe vaillante!
Achille est mort, vous pouvez voir ici
Sa tombe, la voici.
CHŒUR
C’est vrai ; de ce monstre homicide
Pâris nous délivra. – Connais-tu le cheval
De bois, qu’avant de partir pour l’Aulide
Construisirent les Grecs? – Ce cheval colossal,
Leur offrande à Pallas, dans ses vastes entrailles
Tiendrait un bataillon. On abat les murailles.
Dans la ville, ce soir, nous allons le traîner;
On dit que le roi vient tantôt l’examiner!
Où donc est-il? – Sur le bord du Scamandre!
Il faut le voir sans plus attendre!
Courons! courons! Le cheval! le cheval!
文本歌词
CHŒURHa! ha!Après dix ans passés dans nos murailles,Ah! quel bonheur de respirerL’air pur des champs, que le cri des bataillesNe va plus déchirer.(Jeunes garçons et enfants accourant avec des débris d’armes à la main)Que de débris! – Un fer de lance!Je trouve un casque! – Et moi, deux javelots!Voyez, ce bouclier immense!Il porterait un homme sur les flots.Quels poltrons que ces Grecs!UN SOLDATSavez-vous quelle tenteEn ce lieu même s’élevait?CHŒURNon! Dites-le... C’était?LE SOLDATCelle d’Achille.CHŒUR (se reculant avec terreur)Dieux!LE SOLDATRestez, troupe vaillante!Achille est mort, vous pouvez voir iciSa tombe, la voici.CHŒURC’est vrai ; de ce monstre homicidePâris nous délivra. – Connais-tu le chevalDe bois, qu’avant de partir pour l’AulideConstruisirent les Grecs? – Ce cheval colossal,Leur offrande à Pallas, dans ses vastes entraillesTiendrait un bataillon. On abat les murailles.Dans la ville, ce soir, nous allons le traîner;On dit que le roi vient tantôt l’examiner!Où donc est-il? – Sur le bord du Scamandre!Il faut le voir sans plus attendre!Courons! courons! Le cheval! le cheval!